lettre n°117 - Edouard n'a rien à dire.
Lyon le 24 août 1915 Ma bien chère petite Zizette Je viens de recevoir ta lettre qui m’a fait beaucoup plaisir, c’est tout de même une satisfaction de recevoir des nouvelles de sa petite femme, surtout lorsque l’on est embêté et bousculé par le turbin....